Salles de consommation à moindre risque et diacétylmorphine : une histoire de symptômes
Édito octobre 2015 | Les salles de consommation à moindre risque et les traitements assistés à la diacétylmorphine reviennent dans le débat, en ce début d’automne : ce sont ces jours-ci que la Commission Santé Publique de la Chambre des Représentants étudie les avis écrits récoltés auprès d’experts. Au-delà d’être au centre de débats politiques, salles de consommation et diacétylmorphine sont symptomatiques de l’état de la santé publique et des conséquences de réorganisations sectorielles.