Le chantier de Brussels Takes Care a démarré (e-Mag Bxl santé)
Plusieurs groupes de travail thématique, dont un sur les « (més)usages de drogue et conduites addictives », se mettront prochainement autour de la table.
Plusieurs groupes de travail thématique, dont un sur les « (més)usages de drogue et conduites addictives », se mettront prochainement autour de la table.
Le Conseil bruxellois de coordination sociopolitique asbl (CBCS) vient de publier une note de vision politique pour le secteur Social-Santé en région bruxelloise, exposant la conception que les différents organismes de coordination et/ou représentation des secteurs social-santé réunis au sein de l’Inter-fédération ambulatoire (IFA), dont la FEDITO BXL asbl ont de l’organisation de l’aide et des soins de première ligne.
En collaboration avec Transit asbl, l’Observatoire bruxellois pour la Prévention et la Sécurité présente publie un cahier thématique « hors-série » sur les traitements de substitution aux opiacés en Région de Bruxelles-Capitale.
Un décret sera bientôt adopté par la Cocof pour légaliser les salles de consommation.
Ouvrir des salles de consommation sera bientôt légal à Bruxelles. C’est en tout cas l’objectif de la proposition de décret portée par Julien Uyttendael (PS), député bruxellois. Discutée aujourd’hui à la Cocof, la Commission communautaire française, la proposition est déjà cosignée par la majorité bruxelloise, représentée par André du Bus de Warnaffe (CDH) et Fabian Maingain (Défi).
Elle devrait être adoptée dans les prochaines semaines et entrera donc en contradiction – mais c’est le but – avec la loi antidrogue de 1921. Cette dernière considère en effet qu’un tel lieu représente une incitation, ou en tout cas une facilitation de la consommation. Pourtant, le secteur est unanime : les salles de shoot permettent en réalité de limiter les risques liés à la consommation de drogue, comme les overdoses […]
L’Observatoire bruxellois pour la Prévention et la Sécurité (OBPS) publie son premier cahier thématique sur les Chiffres épidémiologiques et infractionnels en matière d’assuétudes en région de Bruxelles-Capitale. Il entend y présenter des données sur une question de sécurité en abordant celle-ci sous plusieurs angles. L’une des finalités est d’en identifier des chiffres-clés, qui pourront, par la suite, faire émerger des indicateurs permettant un monitoring régulier. Les cahiers proposent également des recommandations permettant d’adapter les programmes et dispositifs en cours ou d’en développer de nouveaux.
Dans son programme de politique générale, la majorité politique en charge de la Ville de Bruxelles de 2018 à 2024 s’engage à développer une salle de consommation de drogues à moindre risque (scmr), des bornes d’accès au matériel stérile d’injections, des actions en milieu festif, davantage de travail en bas seuil.
Le gouvernement bruxellois a inscrit dans son projet de budget pour l’an prochain, un montant de 5 millions d’euros destiné à la création d’un centre intégré de traitement des dépendances.
Un « centre intégré à bas seuil » offrira d’ici 2023 toute une gamme de services pour les usagers de drogues. Les plans du projet prévoient la prescription de diacétylmorphine, une héroïne médicalisée.
Le Conseil Bruxellois de coordination sociopolitique (CBCS) vient de publier le rapport intersectoriel 2018 des secteurs social-santé bruxellois agréés par la Commission communautaire française. On y trouve les constats des acteurs de terrain ainsi que leurs recommandations pour les autorités politiques.
En matière d’assuétudes, l’intérêt des salles de consommation à moindre risque n’est plus à démontrer, au regard de l’expérience engrangée depuis vingt ou trente ans au niveau international. Il s’agit d’un dispositif utile, souhaitable et prioritaire. L’enjeu actuel est de savoir si tous les acteurs bruxellois sont prêts à poser les gestes concrets qui rendront effective l’ouverture de la première salle de consommation à moindre risque du pays. Fin mars dernier, une matinée de réflexion sur le sujet avait été organisée dans le cadre des jeudis de l’Hémicycle du Parlement francophone bruxellois.
(…) Un soutien inattendu est celui apporté par la magistrature, représentée par Bernard Michielsen, premier substitut au Parquet de Bruxelles. Celui-ci a commencé par souligner que tous les efforts déployés pour essayer de freiner l’usage des drogues ou […]
Le parlement wallon vient d’adopter en commission une proposition qui pourrait déboucher sur l’ouverture de « salles de shoot ». La ville de Liège est notamment candidate à accueillir un lieu de consommation pour les toxicomanes. C’est une initiative que l’on soutient également à Bruxelles, même si la création de ces salles de consommation à moindre risque (SCMR) dépend, en premier ligne, des autorités fédérales.
En début de législature, la question des SCMR avait d’ailleurs été inscrite à l’ordre du jour d’une conférence interministérielle Santé Publique et un groupe de travail avait même été créé. Mais il faut bien le constater, en trois ans, les choses n’ont pas vraiment bougé. Les SCMR ne sont pas une priorité pour le gouvernement fédéral. Dans ce contexte, la région bruxelloise avance prudemment.
La ministre bruxelloise (Défi) de la Santé, Cécile Jodogne, compétente en […]
En raison des problèmes liés à la drogue dans le quartier de l’Alhambra, la demande d’un nouveau centre pour les usagers de drogues à Bruxelles se fait pressante. A la fin de l’année, les contrats pour la création d’un tel centre devront être signés. A l’asbl Transit de Schaerbeek, qui accueille des toxicomanes, on espère qu’un accord sera rapidement trouvé.
Source : Centre d’accueil Transit: « Les toxicomanes peuvent trouver le calme ici » (BRUZZ)
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