(…) Pour lutter contre les effets néfastes de la consommation de protoxyde d’azote, y compris les déchets abandonnés, des solutions sont à l’étude, tant en Belgique qu’à l’étranger. À l’échelle du pays, seule la vente aux mineurs est interdite. Mais il n’existe pas encore d’interdiction générale au niveau national, même si un projet de loi visant à interdire la vente, le transport et la possession de protoxyde d’azote à des fins récréatives est en Belgique. « Aux Pays-Bas, une telle interdiction nationale du protoxyde d’azote est déjà entrée en vigueur le 1er janvier 2023″, précise safe.brussels.
Mais « criminaliser » le protoxyde d’azote pourrait aussi provoquer des effets indésirables. Selon l’Observatoire Européen des Drogues et des Toxicomanies, « la restriction de l’offre peut favoriser des organisations criminelles, le vol ou le détournement de la chaîne d’approvisionnement légal, voire la fabrication illégale du produit« . (…)
Lire l’article / source : Gaz hilarant : 4,7 tonnes de déchets de protoxyde d’azote collectés en janvier à Bruxelles (RTBF, 22/05/2023)
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