Faute de visites, la drogue commence à ne plus être approvisionnée dans les prisons. Difficile de calmer les détenus «en manque». Une majorité des prisonniers sont des consommateurs de stupéfiants, et un tiers ont même été condamnés pour cela.
Commentaire de l’asbl I.Care : La consommation de drogues en prison, un phénomène connu… par stress, ennui, habitude,… Les raisons sont multiples. Et pourtant, les pouvoirs publics continuent à se voiler la face, puisque aucun programme d’échange de seringues n’existe dans nos prisons. Outre ce type de programme, il est indispensable d’informer les détenus sur les risques et les moyens de les réduire… Les assos sont prêtes, les recommandations internationales ne manquent pas. Les expériences à l’étranger ont prouvé depuis bien longtemps les bienfaits de ces programmes. Y compris pour les agents pénitentiaires. L’équivalence des soins c’est aussi faire rentrer la réduction des risques liés à l’usage de drogues en milieu fermé. A quand le courage politique? (via Facebook)
Source : En manque de drogue, faute de visites, en prison (L’Avenir)